La réaction à chaud de Vincent Carbou, directeur sportif de l'équipe première du RC Suresnes, après la victoire contre St Médard en Jalles (1ère victoire à l'extérieur).
Malgré la pluie annoncée, c'est donc sous un beau soleil que se retrouvent les équipes secondes de Suresnes et de Vincennes. La partie se lance donc sous les meilleures auspices, mais elle est rapidement ponctuée de fautes, d'un côté comme de l'autre.
Le temps de "vendanger" est passé sur les pentes du mont Valérien. Les verts (très peu) et noirs ont cassé ce petit sortilège qui les empêchaient de vaincre sur leurs terres. Pourtant la chose se présentait difficile. La presse faisait ses choux gras des débuts de Koyamaibolé (l'autobus fidjien qui écrasait tout sur son passage, encore l'année dernière avec Brive) dans son nouveau club.
Partis avec la ferme intention de faire un coup en terre charentaise, la deception au coup de sifflet final n'en fut que plus dure : encore une fois le "coup passa si près que le chapeau......ne tomba pas". Après une entame de jeu convenable et la prise du score sur une penalité de Mallet, le jeu s'installe avec une belle conservation des noirs et verts.
Après la déconvenue de la semaine dernière contre Trélissac, les verts et noirs recevaient ce samedi à 18h30 des rennais bien renforcés par des joueurs venant de Pro D2 et de Fédérale Elite.
Après avoir eu du mal à rejoindre le terrain de Carqueiranne, entre les grèves Sncf, aiguilleurs du ciel; les blancs du jour (Hyeres joue en vert,noir et jaune) se présentent sur la pelouse pour en découdre avec les troisièmes du classement. Le problème posé est simple, il faut marquer au minimum 1 point de bonus défensif pour assurer le maintien dans l'élite "amateur".
Le 23 mars dernier, l'Assemblée Générale Extraordinaire du RCS a approuvé 2 décisions: Le changement de nom du club, devenu ainsi Rugby Club Suresnes Hauts-de-Seine, et la création d'une SASP co-présidée par Laurent Piepszownik et Olivier Pouligny, ayant pour vocation de pérenniser la présence du Club en Fédérale 1
je voyais une montée en puissance de cette équipe qui nous ravissait depuis les 3 derniers matchs. Las un coupable relâchement, une soudaine perte d'humilité, ou une fatigue accumulée n'ont, en ce beau dimanche de printemps très ensolleillé, pas permis aux anciens venus fêter un des leurs de voir la véritable face du jeu prôné par Vincent Carbou et Rémy Massias.