Minimes (M14) : Résumé de la dernière journée du championnat

SAMEDI 11 AVRIL 2015 : Suresnes

Joueurs -14 ans (nés en 2001 & 2002) concernés

Ambiance générale

Dernière journée du championnat des équipes 2. Nous finissons par une rencontre sur un match sec, qui signifie, pour les non-initiés, qu’il n’y aura pas de troisième équipe et que ce sera la seule rencontre de l’après-midi pour les deux clubs.

Le maître-mot de cette journée est l’enthousiasme qu’il va falloir avoir en pratiquant notre rugby sans crainte en jouant libéré.

Les joueurs semblent prendre plaisir à être ensemble…

Bel après-midi de printemps

1. Stade français / Suresnes

Si l’adversaire se présente au complet avec une petite dizaine de deuxième année, nous nous présentons, une fois de plus avec un nombre limité de joueurs de devant, et nous en profitons pour remercier la mère de Baptiste pour l’avoir laissé combattre avec ses coéquipiers (cela n’a pas été le cas de tous les joueurs convoqués). Nous sommes heureux, Bruno et moi, d’accueillir Côme venu renforcer nos rangs et Constantin qui quitte celui des trois-quarts pour rejoindre, pour l’heure, celui des avants.

La rencontre se déroule sur le terrain engazonné, grande première pour notre équipe lorsqu’elle joue à domicile. La motivation est là, Bruno conditionne nos joueurs, les prépare psychologiquement à s’envoyer sans avoir peur de cet adversaire mythique, qu’est le Stade français !

L’opposition est rythmée, durant la première mi-temps, par beaucoup de combat et un adversaire qui a la main sur le ballon et qui nous en prive. Il aura fallu dix bonnes minutes de défense avant de craquer et d’encaisser un premier essai non-transformé. Nous allons enfin mettre notre jeu en place et imprimer notre vitesse d’exécution mais avec quelques imprécisions qui ne nous permettent pas d’égaliser avant la pause.

La deuxième mi-temps débute comme s’est terminée la première, sur les chapeaux de roues. Nous insistons au ras puis au large, l’alternance est de mise, le travail, c’est sûr va payer. Malheureusement, la récupération d’un ballon dans un ruck qui n’aura pas été assez contenu, puis un deux contre un d’école permet à l’adversaire d’inscrire un essai entre les perches. Rien n’est perdu, au vu de ce que proposent nos joueurs. La machine se relance, un maul rondement mené depuis les 40 mètres adverses mobilise les avants du Stade et au premier blocage, une passe au 10 qui fixe son vis-à-vis, écarte sur les trois quarts, pour un magnifique essai en bout de ligne. Tout le monde aura touché ou participé à cet essai en les poteaux, qui sera transformé.

La rencontre se termine bien trop tôt pour que nous récupérions notre retard.