Minimes équipe 3 : plateau à Clichy
9 novembre 2015Equipe 1ère séniors : Résumé de Compiègne / Suresnes
10 novembre 20157 novembre 2015 à Suresnes
Les participants à cette journée sous un soleil radieux : Clamart, Versailles et le RCS
Nous avons rencontré 2 équipes pas très au fait des règles de cette première partie de championnat.
Pour les non-initiés, nous devons jouer sous les trois formes de jeu suivantes :
- le touché contesté (avants et trois-quarts séparés)
- le jeu au contact
- le XV classique
Le tout en mi-temps franche de 10 minutes.
Ceci étant dit, et malgré des débuts poussifs à cause des différentes interprétations des règles de la part des éducateurs, nous jouons tous avec peu d’enthousiasme, les joueurs furent un peu perdus. Mon calme olympien, connu et reconnu fait que nous attaquons les mi-temps de la deuxième phase avec un peu plus d’envie. Mais nous sommes partis de tellement bas qu’il a fallu que Bruno lance des regards obscurs (la face cachée de la force).
Une analyse fine par match serait inutile et pas très adaptée.
D’une manière générale, nous n’avons pas été assez combatifs, nos adversaires non plus !
Premier match : RCS – Clamart (Clamart vainqueur)
Deuxième match : RCS – Versailles (RCS vainqueur)
Troisième match : Clamart – Versailles (Clamart vainqueur)
La défense :
Même si certains ont été combatifs et d’autres des défenseurs de « l’extrême », nous manquons cruellement de communication et l’apprentissage et la stratégie défensive mis en place depuis le début de la saison, oublié voir inexistant. La prise d’information et la pression défensive collective que trop peu utilisée. Beaucoup de 1 contre 1 inefficace, trop de plaquage raté. La nécessité d’être à 2 sur un joueur.
L’attaque :
L’appréhension des nouvelles dimensions du terrain a déstabilisé certains de nos jeunes joueurs. Nous avons eu du mal à jouer debout, trop de passages par le sol a nécessité beaucoup de dépenses d’énergie et peu de résultat. En 10 minutes, il n’y a pas de secret. Il faudra trouver à dynamiser plus que ça, chercher à transpercer ce premier rideau et que les soutiens soient plus présent.
Bruno et Maya