Vienne fort de ses trois succès dont deux bonifiés, nous attendait en victimes expiatoires. Hélas pour eux, nos joueurs ont fourni un match de toute beauté, tant dans l’engagement, la volonté et l’esprit de groupe.
Non, vous ne rêvez pas, j’ai ressorti des tiroirs le début du compte rendu de notre dernière confrontation contre Le Havre, il y a donc très peu de temps (à mon échelle, moi qui ai « allégrement » passé le ½ siècle…). 8 mois, quasiment jour pour jour !
Deuxième chapitre de la découverte de la 1e Série pour les joueurs de Suresnes, avec un déplacement annoncé périlleux sur le terrain de l'Union Bords de Marne, qui n'a loupé la montée l'an dernier en Promotion que pour un petit point.
Cela aura pris du temps, mais une section Cadette voit enfin le jour au sein du RC Suresnes Hauts-de-Seine. En fait ce n'est pas au sein d'un seul club, mais de 3 clubs, puisque la nouvelle section Cadettes fait l'objet d'une entente entre les club de Puteaux Rugby, Rugby Club de Courbevoie et le RC Suresnes Hauts-de-Seine.
Match de reprise, météo pour le moins difficile, un opposant de qualité, des licences manquantes et un groupe réduit (19 joueurs sur la feuille de match), la première rencontre de la saison en Première Série pour le promu suresnois avait tout l'air d'un traquenard.
Apres les grosses chaleurs du weekend précédent, la pluie s’est invitée pour ce premier rendez vous sur le Mont Valérien. Chambery venu la veille à Marcoussy, était arrivé avec la ferme intention de rester invaincu.
Très belle entame de match (ce qui n'était pas dans nos habitude à l'extérieur ...) sous un soleil de plomb.La conservation est bonne, mais quelques scories viennent empêcher les joueurs d'aller marquer.
Rentrée studieuse pour des suresnois appliqués, qui font 35' de haut niveau avec une belle conservation de ballon, des mouvements bien léchés avec alternance avants/arrières de bon aloi. Sur le peu de ballons joués par Drancy, la défense monte très rapidement et annihile les mouvements drancéens, et leur fait commettre des fautes, vite sanctionnées par le pragmatisme tout british de Matthew Ford.