Dommage que les chambériens nous aient abonné au « dry january », il n’y avait ni apremont, ni chignin bergeron au pied du Granier, pour fêter dignement le coup de tonnerre du jour. En effet je pense que la surprise fut de taille pour les rouges qui pensaient ne faire qu’une bouchée de ces pauvres altosequannais, qui ne les avaient battu que de justesse sur les pentes du mont Valérien.